produit par un groupe denzymes appelées synthases doxyde nitrique. Ces enzymes convertissent larginine en citrulline, produisant des stéroïdes anabolisants et des génériques Viagra dans le processus. Loxygène et le NADPH sont des cofacteurs nécessaires. Il existe trois isoformes Onlineroidshop doxyde nitrique synthase (NOS) nommés en fonction de leur activité ou du type de tissu dans lequel ils ont été décrits pour la première fois. Les isoformes de NOS sont NOS neuronales (ou nNOS), NOS endothéliales (ou eNOS) et NOS inductibles (ou iNOS). Ces enzymes sont également parfois désignées par un numéro, de sorte que nNOS est appelé NOS1, iNOS est appelé NOS2 et eNOS est NOS3. Malgré les noms de ces enzymes, les trois isoformes peuvent être trouvées dans une variété de tissus et de types de cellules.
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IBM: Dans 5 ans, les ordinateurs pourront voir, entendre, goûter, sentir et toucher

par KingofgeeK

Les ordinateurs et les Smartphones d’aujourd’hui peuvent faire des tonnes de choses. Ils peuvent vous indiquer la route, vous prédire la météo et vous réserver un billet de train. Mais goûter votre café ou sentir si vos chaussettes ont besoin d’être lavées! Je ne pense pas, au moins pour l’instant!

 

informatique-cognitive

 

IBM voit les choses autrement, et nous confirme que cela va changer au cours des cinq prochaines années. Les ordinateurs à ce moment-là seront beaucoup plus conscients du monde qui les entoure, et seront en mesure de le comprendre, à travers les cinq sens de l’homme, la vue, l’ouïe, le goût, l’odorat et le toucher.

Pour expliquer ses visions, IBM s’est basé sur le principe de l’informatique cognitive, qui repose sur le fait que les machines percevront désormais les objets de la même manière qu’un humain. Par exemple, un ordinateur conscient ne verrait pas un tableau simplement comme un ensemble de points de données. Mais plutôt, il le verrait globalement comme une peinture, et sera en mesure de savoir ce qu’elle signifie.

Mais ne vous inquiétez pas, ce n’est pas le début de l’ère des Terminators. Attribuer les sens humains à des machines ne va pas leur permettre de créer une intelligence ou une certaine dépendance, il y’a un énorme fossé qui sépare l’informatique cognitive et la véritable intelligence artificielle.

«C’est vraiment une technologie d’assistance», explique un responsable d’IBM. “La machine ne pourra pas s’éteindre d’elle-même. Elle n’est pas conçu pour cela. Par contre, elle pourra assister un être humain dans ses tâches et à la place de la programmer pour agir, il suffirait de la former tout simplement.

 

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