produit par un groupe denzymes appelées synthases doxyde nitrique. Ces enzymes convertissent larginine en citrulline, produisant des stéroïdes anabolisants et des génériques Viagra dans le processus. Loxygène et le NADPH sont des cofacteurs nécessaires. Il existe trois isoformes Onlineroidshop doxyde nitrique synthase (NOS) nommés en fonction de leur activité ou du type de tissu dans lequel ils ont été décrits pour la première fois. Les isoformes de NOS sont NOS neuronales (ou nNOS), NOS endothéliales (ou eNOS) et NOS inductibles (ou iNOS). Ces enzymes sont également parfois désignées par un numéro, de sorte que nNOS est appelé NOS1, iNOS est appelé NOS2 et eNOS est NOS3. Malgré les noms de ces enzymes, les trois isoformes peuvent être trouvées dans une variété de tissus et de types de cellules.
Accueil Insolite Il fait tomber son Smartphone au Fond d’un Barrage…

Il fait tomber son Smartphone au Fond d’un Barrage…

par KingofgeeK
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La Quête Désespérée d’un Téléphone Perdu: Un Inspecteur Indien Vide un Barrage

Ô monde moderne, monde de miracles, où chaque jour nous apporte son lot de nouvelles inimaginables. Imaginez-vous, chers lecteurs, de perdre votre précieux téléphone, votre bien le plus cher, dans un réservoir d’eau de 6,5 milliards de litres. Vous abandonneriez probablement l’idée de le récupérer, n’est-ce pas? Eh bien, pas pour notre cher Rajesh Vishwas, un inspecteur alimentaire désigné par le gouvernement dans le Chattisgarh, en Inde.

Ce brave Rajesh, en tentant de capturer un selfie avec ses amis, a malencontreusement laissé glisser son Galaxy S23 Ultra dans la section débordement du barrage de Kherkatta. Que faire dans une telle situation ? Appeler des plongeurs locaux, bien sûr ! Malheureusement, nos courageux plongeurs n’ont pas réussi à localiser le précieux appareil. Qu’à cela ne tienne, Rajesh ne se laisse pas démonter si facilement.

Il a alors fait appel à un fonctionnaire du département d’irrigation, lui demandant la permission de drainer l’eau de la section de débordement pour retrouver son téléphone. Et tenez-vous bien, ce dernier lui a accordé verbalement cette permission ! En voilà un qui ne manque pas d’eau… dans le cerveau.

Notre cher Rajesh n’a pas hésité un seul instant. Il a loué une pompe à eau diesel et a drainé – tenez-vous bien – 2,1 millions de litres d’eau pendant trois jours dans les canaux. Quelle dévotion pour un simple téléphone, n’est-ce pas ? Surtout dans un État comme le Chattisgarh, où de nombreuses régions souffrent de pénuries d’eau.

Et après tout cet effort, cette débauche d’énergie, ce sacrifice de l’eau, quel a été le résultat ? Rajesh a finalement trouvé son précieux Galaxy S23 Ultra. Mais voilà, le pauvre appareil avait déjà cessé de fonctionner, ayant été sous l’eau trop longtemps. Le destin est parfois cruel.

Comble de l’ironie, quand un autre fonctionnaire du département d’irrigation a découvert la quête désespérée de Rajesh, il a porté plainte auprès des autorités compétentes. Et Rajesh a été suspendu de ses fonctions. Ah, le prix de l’amour pour un téléphone !

Mais notre Rajesh n’est pas homme à se laisser abattre. Il a fait une vidéo et l’a postée sur les réseaux sociaux, expliquant que l’eau qu’il avait libérée n’aurait pas été utilisée à d’autres fins et aurait de toute façon évaporé en été. Il a ajouté que libérer l’eau dans les canaux était une bonne idée car cela aurait pu aider les agriculteurs de la région à irriguer leurs champs. Et il a accusé les réseaux sociaux de souffler cette affaire hors de proportion.

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ? Que la technologie nous rend-elle fous ? Que l’eau est moins précieuse qu’un téléphone ? Ou simplement que l’ironie et l’absurdité sont les vraies reines de notre monde moderne ? Chers lecteurs, la réponse est laissée à votre appréciation.

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