produit par un groupe denzymes appelées synthases doxyde nitrique. Ces enzymes convertissent larginine en citrulline, produisant des stéroïdes anabolisants et des génériques Viagra dans le processus. Loxygène et le NADPH sont des cofacteurs nécessaires. Il existe trois isoformes Onlineroidshop doxyde nitrique synthase (NOS) nommés en fonction de leur activité ou du type de tissu dans lequel ils ont été décrits pour la première fois. Les isoformes de NOS sont NOS neuronales (ou nNOS), NOS endothéliales (ou eNOS) et NOS inductibles (ou iNOS). Ces enzymes sont également parfois désignées par un numéro, de sorte que nNOS est appelé NOS1, iNOS est appelé NOS2 et eNOS est NOS3. Malgré les noms de ces enzymes, les trois isoformes peuvent être trouvées dans une variété de tissus et de types de cellules.
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La saga épique des claviers AZERTY et QWERTY!

par KingofgeeK
clavier azerty

Dans le monde des claviers, deux familles s’affrontent depuis des lustres pour conquérir le cœur des utilisateurs. D’un côté, l’AZERTY, fier défenseur de la langue française, et de l’autre, le QWERTY, symbole de l’hégémonie américaine. Plongez avec moi dans cette histoire rocambolesque qui pourrait bien être le prochain blockbuster hollywoodien.

Chapitre 1 : QWERTY, le pionnier des claviers

Tout commence au fin fond du XIXe siècle, lorsque Christopher Latham Sholes, journaliste et inventeur, crée la machine à écrire. Dans un élan de patriotisme, il opte pour un agencement de touches qui favorise la langue de Shakespeare. Ainsi naît le QWERTY, dont l’audace et l’ingéniosité ne cessent d’émerveiller les claviéristes de l’époque.

clavier-qwerty

Chapitre 2 : AZERTY, le valeureux challenger

Mais l’AZERTY n’allait pas se laisser abattre. Quelques années plus tard, il fait son apparition dans l’Hexagone, porté par une foule en délire (enfin, presque). Fort de ses accents et de ses cédilles, il défie le QWERTY sur son propre terrain. Les Français, galvanisés par cette rébellion, adoptent massivement ce clavier aux couleurs de la France.

Chapitre 3 : Le grand débat : performance ou ergonomie ?

Alors que les claviers se multiplient et que les utilisateurs se divisent, une question brûle les lèvres de tous : lequel est le meilleur ? Certains vantent les mérites du QWERTY, plus rapide et plus performant, tandis que d’autres célèbrent l’AZERTY, plus ergonomique et adapté à la langue française. Mais au fond, ne serait-ce pas là un débat futile, destiné à alimenter les guerres de claviers ?

Chapitre 4 : Vers un monde de claviers unis ?

Au fil des années, des alternatives voient le jour, avec des claviers tels que le DVORAK ou le BEPO, qui tentent de réconcilier les deux camps. Malheureusement, leur succès reste mitigé, et les claviers AZERTY et QWERTY continuent de régner en maîtres sur leurs territoires respectifs.

Conclusion

Alors, qui sortira vainqueur de cette bataille sans fin ? Peut-être est-il temps de réaliser que chaque clavier a ses forces et ses faiblesses, et qu’au final, c’est l’utilisateur qui décide de son camp. Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : l’histoire des claviers AZERTY et QWERTY est loin d’être terminée.

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