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Warhammer 40K: Dawn of War IV officialisé à la gamescom — retour aux fondamentaux STR, sortie en 2026

par KingofgeeK
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Dawn of War IV - Dawn of War 4

Le WAAAGH! résonne à nouveau. À l’Opening Night Live de la gamescom 2025, Games Workshop et Deep Silver ont dégainé Warhammer 40 000: Dawn of War IV ou Dawn of War 4 tout simplement. Un nouveau studio prend le commandement ( KING Art Games, connu pour Iron Harvest ) avec une grosse promesse : revenir aux racines STR de la saga. L’angle est bien clair : bases à ériger, armées à faire grossir, escouades à spécialiser et un système “Sync Kill” remis au goût du jour pour illustrer la brutalité des mêlées. Rendez-vous en 2026 sur PC.

Ce qu’il faut retenir en 60 secondes

  • Annonce : dévoilé lors de l’Opening Night Live (gamescom).
  • Plateforme / fenêtre : PC, sortie 2026.
  • Studio / éditeur : KING Art Games (dév.) et Deep Silver (édition).
  • Cap : retour au STR classique façon DoW1 : construction de base, macro solide, combats massifs.
  • Campagne : plus de 70 missions, jouables en solo comme en coop, quatre campagnes, une par faction.
  • Factions au lancement : Space Marines (Blood Ravens), Adeptus Mechanicus (première apparition dans la série), Orks, Nécrons.
  • Modes : Escarmouche IA, Last Stand de DoW2 qui revient et multijoueur 1v1, 2v2, 3v3.
  • Cadre : retour sur Kronus, longtemps après Dark Crusade, avec des visages connus qui refont surface côté lore.

Retour aux sources : un Dawn of War qui assume son ADN

Les signes ne trompent pas : Dawn of War IV prend ses distances avec l’orientation MOBA-like qui avait brouillé le message de DoW3. Ici, macro-gestion, prise de positions, lignes de front qui bougent et cadence industrielle reviennent au premier plan. Le fameux “Sync Kill” ( ces exécutions de mêlée cinématographiques ) fait son retour, non pas comme un gadget, mais comme un marqueur de lisibilité et de spectacle pendant les affrontements. Dans un paysage STR qui oscille entre nostalgie et modernisation, DOW IV coche la case « la base avant tout ».

Campagne XXL sur Kronus : quatre points de vue, un théâtre de guerre

Le solo (et la coop) constitue l’autre pilier de l’offre. Quatre campagnes dédiées, plus de 70 missions annoncées et une narration co-écrite par l’auteur Black Library John French. Côté décor, Kronus reprend son rôle de poudrière : on y retrouve les Space Marines Blood Ravens et des rivaux aux identités mécaniques bien marquées ; Orks, Nécrons et l’Adeptus Mechanicus, qui fait ses grands débuts dans Dawn of War. La promesse : des mécaniques propres à chaque armée, des commandants qui impriment un style de jeu distinct et un rythme de campagne pensé pour alterner batailles de positions et percées décisives.

Petite cerise pour les fans du lore : Cyrus rempile au casting et le récit se place bien après Dark Crusade, scellant un retour “à la maison” sur Kronus. Les fans éplucheront les trailers et communiqués pour guetter d’autres têtes connues.

Dawn of War IV - Dawn of War 4
Dawn of War IV – Dawn of War 4

Multi, Last Stand, escarmouches

Au-delà des campagnes, le “bac à sable” multijoueur coche les cases attendues : Escarmouches contre l’IA, Last Stand qui revient (survie coop en arènes) et un PvP calibré pour 1v1, 2v2 et 3v3. L’objectif est double : rejouabilité à l’infini et lisibilité compétitive dès le lancement, sans oublier les outils de personnalisation visuelle (painter/peintures d’armée) qui font partie de l’ADN hobby Warhammer.

KING Art aux commandes

Relic n’est pas aux manettes — un petit séisme symbolique — mais KING Art n’arrive pas les mains vides. Iron Harvest a montré que le studio sait faire vivre un STR moderne sans renier la lisibilité ni la profondeur tactique. Surtout, le positionnement ici n’est pas l’esbroufe : on reconstruit sur des fondations éprouvées, on densifie la campagne, on soigne les modes annexes. Pour une licence qui avait essuyé des critiques sur l’axe campagne/équilibrage, c’est exactement là où il fallait appuyer.

Un épisode important pour les joueurs :

Le timing n’est pas anodin. La série a repris la lumière cet été avec la Definitive Edition du premier Dawn of War. Voir DoW IV enchaîner dans la foulée nourrit une dynamique « retour en force du STR » que beaucoup espéraient. Et, sur le papier, l’équation « campagnes costaudes + multi soigné + ADN DOW1 » a tout pour rassembler anciens et nouveaux joueurs.

A surveiller :

  • Pathfinding et lisibilité en batailles massives : priorité numéro 1 pour un STR « bases + gros volumes ».
  • IA d’escarmouche : doit tenir la route pour la progression solo/coop.
  • Équilibrage inter-factions sur le 1v1, sans tuer l’intérêt du 3v3.
  • Qualité du netcode et de l’UX multi (matchmaking, spectateur, reprises).
  • Ouverture au modding : un plus qui change la durée de vie… si c’est au programme.
Dawn of War IV
Dawn of War IV

En attendant des previews jouables et des détails techniques, Dawn of War IV coche les bonnes cases : clarté de l’orientation, respect de l’ADN et offre de modes complète dès l’annonce. Si KING Art transforme l’essai sur l’ergonomie et l’équilibrage, 2026 pourrait bien marquer le vrai come-back du STR “à l’ancienne” dans l’univers le plus belliqueux de la SF.


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