produit par un groupe denzymes appelées synthases doxyde nitrique. Ces enzymes convertissent larginine en citrulline, produisant des stéroïdes anabolisants et des génériques Viagra dans le processus. Loxygène et le NADPH sont des cofacteurs nécessaires. Il existe trois isoformes Onlineroidshop doxyde nitrique synthase (NOS) nommés en fonction de leur activité ou du type de tissu dans lequel ils ont été décrits pour la première fois. Les isoformes de NOS sont NOS neuronales (ou nNOS), NOS endothéliales (ou eNOS) et NOS inductibles (ou iNOS). Ces enzymes sont également parfois désignées par un numéro, de sorte que nNOS est appelé NOS1, iNOS est appelé NOS2 et eNOS est NOS3. Malgré les noms de ces enzymes, les trois isoformes peuvent être trouvées dans une variété de tissus et de types de cellules.
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Bientôt, le Smartphone remplacera le Stéthoscope

par KingofgeeK

Le remplacement du Stéthoscope par le mobile est-il pour demain ?

 

 

La semaine dernière, après un mal de dent horrible, je suis parti voir mon dentiste. Il a découvert une carie qui a infecté la racine. Pour m’expliquer le processus d’infection, le dentiste m’a montré une animation sur son iPad montrant l’évolution du tartre du stade de la petite couche au stade de l’affaiblissement de la base de la dent. ça m’a beaucoup impressionné et j’ai commencé à sentir toute l’implication des nouvelles technologies et surtout des smartphones dans notre quotidien, et plus précisément dans notre santé. C’est ainsi que j’ai décidé de partager avec vous une étude sur le monde la e-santé:

 

 

Allié à des capteurs ou doté d’une nouvelle génération d’écran, le smartphone devient ou deviendra un outil d’enregistrement de paramètres biologiques.

Des fabricants de puces européens, tel STMicroelectronics, travaillent à concevoir de nouvelles générations de capteurs capables d’enregistrer des paramètres biologiques (température ou échanges respiratoires à la surface de la peau).

En Grande-Bretagne, des terminaux mobiles pourraient être utilisés pour diagnostiquer les maladies sexuellement transmissibles (MST), par l’analyse de la salive ou de l’urine, à l’aide d’une puce de la taille d’une clé USB branchée à l’ordinateur ou à un smartphone.

Aux États-Unis, des expérimentations sont menées par la NorthEastern University de Boston sur des nanocapteurs permettant d’effectuer des tests sanguins sans prélèvements (taux de glycémie, de sodium, d’oxygène dans le sang). Ces capteurs détecteront des nanoparticules injectées dans la peau qui deviennent fluorescentes lorsqu’elles sont exposées à une molécule cible. Le smartphone est alors appliqué à même la peau pour analyser le niveau de fluorescence.

L’université de Californie (UCLA) transforme un smartphone en un microscope à fluorescence, capable de détecter la présence de la bactérie Escherichia coli dans l’eau et dans les aliments. Cela est rendu possible par la mise au point d’un capteur couplé au smartphone.

En Asie, une équipe de scientifiques propose une utilisation nouvelle des écrans tactiles pour effectuer des analyses biomoléculaires.
Visiblement, les écrans des smartphones qui fonctionnent sur la détection de charge électrique seraient capables de reconnaître la présence de certaines molécules et leur taux de concentration grâce à un simple toucher.

Dès aujourd’hui, la m-santé offre une palette très vaste de services

En termes de chiffres, on peut citer l’étude de MobileHealthNews qui indique l’existence de plus de 13700 applis en santé et bien être, destinées au grand public. 16,2% d’entre elles concernaient la surveillance des pathologies cardiaques, 14% le suivi des régimes alimentaires, 10,4% la gestion du stress, 5,4% la santé mentale et 2 % le sevrage tabagique.

De manière plus globale, grand public et professionnels de santé sont les utilisateurs ciblés pour de nombreuses applications dans des domaines variés permettant, entre autres :
-le suivi des  maladies chroniques tel que le diabète, avec le calcul des doses d’insuline à prendre et l’envoi des chiffres de glycémie au médecin traitant(citons l’exemple de l’appli IBGStar),
-le conseil aux professionnels de la santé (exemples de l’application iPansement, permettant d’identifier le dispositif de pansement le plus adapté face à une plaie ou de 10 second EM sorte de guide des gestes médicaux d’urgence),
-la consultation de bases médicamenteuses (Medscape, EMRA Antibiotic guide, Vidal…),
-la prévention auprès du grand public sur des pathologies telles que le cancer du sein (l’application Check Mepermet d’apprendre à se palper les seins pour dépister les premiers signes d’un cancer),…

(Cette liste n’est évidemment pas exhaustive !)

 

Le corps professionnel a déjà adopté le device…reste à le former à une évolution de son utilisation

En effet, et c’est une bonne nouvelle, l’usage du smartphone en France semble se généraliser au sein des médecins. Du moins, c’est l’analyse faite par l’Observatoire des usages numériques en santé, mis en place par l’éditeur médical Vidal en association avec le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM).
Enquête réalisée auprès de 2131 médecins équipés d’un smartphone.

Cette étude indique que :
94% des médecins qui possèdent un smartphone en font un usage professionnel.
81% l’utilisent pour gérer leur agenda.
37% utilisent la fonction dictaphone.
53% ont téléchargé des applications médicales (dont 68% concernent les bases de données médicamenteuses et 65% les interactions médicamenteuses).

La lecture de cette étude, nous démontre globalement que le smartphone est devenu un outil quotidien de la pratique de la médecine en France, qu’il devient un véritable outil d’accompagnement pour la prescription et qu’il peut devenir un outil « fort » de la relation médecin-patient car on apprend par cette étude que plus d’un médecin sur deux communique son numéro à ses patients.
Et c’est sans doute ce dernier point qui est capital dans l’avenir de la m-santé, à mon sens.

D’autant (et une fois n’est pas coutume) qu’au niveau international, la position des médecins vis-à-vis de l’essor de la m-santé n’est pas aussi positive que cela, au vu des résultats publiés dans l’étude l’étude mondiale PwC Global Healthcare. En effet, il apparaît que seuls 27 % des médecins encouragent les patients à utiliser des applications de m-santé, et 13 % des médecins découragent leur utilisation. Et que 42 % des médecins sont inquiets sur la trop grande indépendance que la m-Santé donnera aux patients.

Sans doute une réaction à une information clé de la même étude, à savoir : 59% des utilisateurs de m-santé ont remplacé quelques visites chez le médecin ou un autre professionnel de santé grâce à la m-santé…

De leur côté, les patients l’ont déjà assimilé et attendent encore plus de la m-santé

Car 48 % des patients s’attendent à ce que la m-santé change leur façon de communiquer avec leurs médecins. Cette indication est toujours issue de l’étude mondiale PwC Global Healthcare qui indique également que 52% des consommateurs interrogés pensent que la m-santé améliorera le coût de leurs soins, 48% leur qualité et 46% la praticité des soins dans les trois prochaines années. Ils s’attendent aussi à ce que la mSanté change leur façon de gérer une maladie chronique (48%), de chercher de l’information (59%).

L’aspect économique de la m-santé a semble-t-il convaincu les organismes payeurs

Cette enquête intitulée « Emerging mHealth: paths for growth » de PwC révèle enfin que dans les marchés développés, la m-santé est considérée comme une manière d’améliorer la commodité, le coût et la qualité des soins. Et que 40 % des organismes payeurs encouragent les patients à laisser les médecins contrôler leur santé et leurs activités à l’aide de services de m-santé.

Argument que le ministre de la santé britannique, a très bien perçu, puisqu’il recommande aux médecins d’encourager leurs patients à utiliser des applications et services mobiles pour suivre leurs signes vitaux dans différentes situations comme le suivi de la grossesse, le monitoring de la tension artérielle ou encore la surveillance du diabète. Selon le Ministère de la Santé, plus de 15 000 patients britanniques utilisent déjà des applications mobiles pour transmettre des données à leur médecin.

Près de 500 applications médicales sont visées par ces recommandations, après avoir été examinées par un jury de professionnels de santé britanniques.

A la clef, une économie de plusieurs millions de livres sterling pour le National Health Service (NHS), basée sur la constatation du ministère indiquant que le quart des personnes qui consultent le site NHS Choices (et sa version mobile) se rendent moins souvent chez le médecin.

L’avenir de la m-santé : passer du suivi au diagnostic médical ?

A l’image des avancées technologiques présentées en début de cet article, il semble que le développement durable du secteur de la m-santé passe par des solutions axées pour le patient qui recherche à être davantage acteur de sa santé.

Cela semble être l’avis d’Elisabeth Hachmanian associée PwC en charge de l’activité Santé en France qui déclare également que :
« Les services demandés par les patients sont ceux qui aident à communiquer avec les professionnels de santé, à gérer leur bien-être, à donner des informations sur la santé et les médicaments, et enfin à diffuser des informations sur leur état de santé aux professionnels concernés ».
Et elle précise également un point important concernant les modalités de recueil de données médicales :
« Ce recentrage sur des solutions pratiques plutôt que sur des évolutions technologiques est d’autant plus nécessaire que l’expérience montre que plus de deux tiers des patients ayant utilisé des applications bien-être avec saisie manuelle de données ont cessé de le faire au bout des six premiers mois. C’est un axe de travail clair pour les industriels ».

Et histoire de conclure sur une vision précise de ce pourrait apporter les futurs développements en m-santé permettant d’orienter les patients vers la bonne prise en charge

 

 

 

source: Le monde de la santé

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