DeepSeek vs ChatGPT : le nouveau challenger peut-il détrôner le roi de l’IA ?
Hey la team geek ! Aujourd’hui, on s’attaque à un vrai duel de titans dans le monde de l’intelligence artificielle. Dans le coin gauche, un petit nouveau qui fait du bruit : DeepSeek. Dans le coin droit, le vétéran bien connu : ChatGPT. Installez-vous confortablement, ça va chauffer !
DeepSeek, le challenger surprise venu de Chine
On ne l’avait pas vu venir, celui-là. DeepSeek débarque tout droit de Chine, propulsé par une startup qui ne perd pas de temps. Résultat ? L’appli explose littéralement les compteurs sur l’App Store américain, devenant l’une des plus téléchargées… et tout ça sans faire débourser un centime à ses utilisateurs.
Son modèle, baptisé R1, n’a rien à envier aux grosses pointures du secteur. Moins coûteux à entraîner, plus léger à utiliser, et franchement impressionnant dans ses réponses, surtout pour un outil aussi jeune.

ChatGPT, le boss installé
En face, on retrouve ChatGPT, la référence signée OpenAI. Lui, c’est un peu le vieux briscard du game. Il est là depuis un moment, a fait ses preuves, et continue de séduire avec sa stabilité et ses performances globalement solides.
Par contre, pour profiter du modèle GPT-4, il faut sortir le portefeuille : 20€ par mois pour l’abonnement « Plus ». Et ouais, la qualité, ça se paye.
Sur le ring : qui s’en sort le mieux ?
Alors, lequel est le plus balèze ? Ça dépend des situations. ChatGPT garde l’avantage sur les sujets un peu sensibles — il gère mieux les nuances, propose des idées plus pertinentes (genre si tu veux organiser une soirée romantique ou aborder un thème complexe avec tact).
De son côté, DeepSeek n’est pas en reste. Il impressionne sur des questions techniques, notamment en physique, et arrive à garder un ton sympa, même quand on le pousse un peu dans ses retranchements. Et franchement, vu que c’est gratuit, c’est assez bluffant.

La question du prix (et de la liberté)
C’est là que DeepSeek marque des points : zéro frais, accès libre, tout le monde peut tester sans sortir la CB. Clairement, ça joue dans sa popularité.
Mais faut aussi parler des limites. Étant un outil développé en Chine, il y a une censure bien présente sur certains sujets « sensibles ». Pose-lui une question sur Tiananmen ou Taïwan, et hop, réponse ultra filtrée, voire éludée. Pas étonnant, mais bon à savoir.
Cela dit, soyons honnêtes : OpenAI aussi filtre pas mal, surtout sur des sujets jugés « chauds » en Occident (Ukraine, politique, etc.). Et puis, sérieusement, pourquoi ChatGPT refuse toujours de dire « David Mayer » ? 😅 On nage parfois dans l’absurde.
Liens Utiles
- Article détaillé sur DeepSeek
- Panique Totale : Et Si ChatGPT Ne Revenait Jamais ?
- Site officiel DeepSeeK
Voilà, les amis ! J’espère que cet article vous a éclairés sur la bataille entre DeepSeek et ChatGPT. N’hésitez pas à partager vos impressions dans les commentaires. À la prochaine !